Selon certains psychologues, il y aurait deux types de chanceux : ceux qui bénéficient d’un « coup de chance » et gagnent à l’Euromillion ; et ceux qui provoquent et cultivent leur chance. Si le premier schéma est difficilement prévisible, le second se travaille.
On pourrait les différencier en les nommant « chance passive » et « chance psychologique ». La seconde est le fruit d’un positionnement volontaire et conscient. Les psychologues ont observé qu’elles ont cinq points en commun : la bonne rencontre au bon moment, l’info qui tombe à pic, l’ouverture à de nouvelles perspectives, la demande inattendue et l’incident providentiel. Pour rester veinard, il faut travailler le terreau qui permettra aux bonnes graines de germer.
