Sur le blog d’info sur SuperChance100, on s’intéresse à une découverte scientifique insolite, la formule mathématique de la chanson qui rend heureux, parce qu’on est convaincu que le bonheur appelle le bonheur, et c’est ce qu’on espère en jouant en communauté à l’Euromillions.
Les jeux de loterie, de hasard, remontent à l’époque romaine, ils permettaient de divertir les foules en promettant monts et merveilles à n’importe quel habitant de la cité ; prix remis par l’empereur Auguste lui-même. À cette époque, seule la chance, pouvant être perçue comme une intervention divine, désignait l’heureux élu.
Émile Borel, spécialiste de la théorie des probabilités, est un mathématicien du début du XXe siècle reconnu notamment comme précurseur de la pensée européenne suite à sa grande implication au sein de la Société des Nations. Ayant reçu la toute première médaille d’or du CNRS, récompense la plus prestigieuse dans le monde de la science française, en 1954, il se place ainsi parmi les grandes figures de l’Histoire Mathématique. Il affirme que « le hasard sont les lois que nous ne connaissons pas ».
Grande question que le hasard ! Il y a ceux qui y croient, et ceux qui n’y croient pas. Pour certains, gagner à l’euromillion n’est que pure chance, pure coïncidence. Serait-ce plus naturel pour l’Homme de dire de ce qu’il ne sait pas que c’est hasardeux, plutôt que d’assumer son ignorance, face à des questions insolubles ?